Lorsqu'on s'aventure au delà des arbres endormis, le vent souffle un peu plus fort et il arrive qu'on croise des créatures secrètes. Silencieux et à peine palpables, il leur arrive de se laisser porter par la brise jusqu'au frontières ténues du réel.
C'est l'été et ces quelques jours de repos permettent enfin de prendre le temps de dessiner pour moi. S'abimer dans les détails d'un paysage est aussi reposant que de s'allonger contre chacun des brins d'herbe de la prairie que l'on esquisse.
Pour faire plaisir à vos caries, j'ai fourré toutes les couleurs des bonbons du monde dans la même image.
[Edit] Voici également deux essais en version animée entre lesquelles mon coeur bascule :
Version 1 : L'herbe qui bleuoie
Version 2 : Les nuages qui fuient
Si en plus on dessine dans un lieu sympathique, on respire!
A très vite!
Pueblo.
2 commentaires:
Bravo, superbe dessin! Et je vote pour la version animée!
ça a l'air cool tes vacances !
Superbe dessin !
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